mercredi 27 février 2008

maman les p'tits bateaux

un ponton désert...c'est tellement rare que ça vaut la photo. Mais tous les plaisanciers ne sont pas de sortie, c'est que ce ponton va être réparé ou changé.

reflets dans l'eau bleue


Si vous n'avez pas fait votre choix chez Alice; il n'est pas trop tard!


le bateau de la SNMS attend l'éventuelle alerte


C'est bientôt le soir, les cloches appellent les fidèles à la messe du samedi soir

Je monte dans "la capitale" et serai contente de vous retrouver dimanche. Bonne fin de semaine à tous kenavo.



cimetière

voici une tombe bien insolite dans un cimetière breton!
une plaque très couleur locale

là aussi, le village breton et Jésus semant le bon grain (la bonne parole)

c'est touchant, le couple embarqué sur le même bateau même dans la mort

ou lève-toi et marche (jusqu'à la mairie)

pour finir le bateau suspendu dans l'église qui touche le cimetière.





mardi 26 février 2008

fleurs d'ajoncs chantez toujours...

Ce matin, la pluie tombait sur Arzon, je suis allée au marché et voyant que la pluie cessait je suis partie faire un tour. Les ajoncs commencent à fleurir.
Je suis entrée dans un terrain qui autrefois servait de paturage aux moutons...ils sont ailleurs et je crois que certains matériaux commencent à arriver une maison remplacera les ajoncs et le reste.

Je continue sur la route qui descend vers le port et là les bateaux hibernent tranquillement.


Et juste au bout de la rue cet arbuste en fleurs.

Ces fleurs pour la Delphine de marie-noyale. On n'a pas tous les jours 21 ans, bon anniversaire Delphine. Je dis "la" car moi aussi j'ai une Delphine, c'est ma fille ainée (la plus jeune s'appelle Alice )




vendredi 22 février 2008

feue mon héllebore

je vous montre cette photo de mon hellèbore(rose de Noël) qui a rendu l'âme après avoir eu des fleurs magnifiques ,elle est fanée. Elle laisse la place aux fleurs de printemps.
Je vous laisse pour 2 ou 3 jours direction la presqu'île de Rhuys (le golfe du Morbihan).
Bon week end et kenavo.

nouveau quartier (suite)

derrière la place il y a un petit square dans lequel a été placée la statue de "la jeune paysanne bretonne"sculptée à la cire perdue par un artiste Bernard Potel (élève de Paul Belmondo) sur demande de la ville pour l'inauguration du nouveau quartier. Cette statue est l'idée d'un habitant du quartier qui voulait ainsi faire le lien entre hier et aujourd'hui. Sur le socle il y a le portrait du sculpteur très connu à Cesson, Jean Boucher, dont on verra les oeuvres dans les jours à venir.









jeudi 21 février 2008

nouveau quartier

un nouveau quartier se termine à Cesson le quartier de la Monniais (près du parc déjà photographié). Il y a d'abord eu un grand lotissement avec de très belles maisons (sur de petits terrains, place et prix obligent) puis des immeubles et ensuite tout un ensemble de magasins. Pour finir il y a cette place (rond-point) où des arbres ont été plantés.
il y a plusieurs ragées de ce spécimen que personne ne sait nommer aussi vais-je surveiller une poussée de bourgeons.

Ici en plein milieu, un chêne, venu d'Allemagne(?) avant noël. Sinon tout le long des rues des plantations sous bâches ont été faites. Attendons un peu pour voir ce que ça donnera car pour l'instant cette place est très minérale.






mercredi 20 février 2008

chacun cherche son chat

pour vous reposer un peu après les efforts demandés hier. Je vous félicite d'avoir essayé et je suis sûre que vous minimisez vos facultés de compréhension des math. Mais chacun sait qu'il n'y a pas que les math dans la vie!!! Avant de reprendre la découverte de certains aspects de Cesson je vous présente notre chat.

C'est un chat "Henriot"( faïencerie célèbre de Quimper) comme vous pouvez le voir il est orthodoxe, portant autour du cou le komboloï, chapelet que tiennent pratiquement tous les grecs dans la main comme un anti stress ou comme objet de dévotion. Je ne sais pas si vous avez vu le mouvement de main avec lequel ils le font tourner quand ils discutent entre eux à la terrasse des cafés ou sur leurs chaises près de leur porte.


mardi 19 février 2008

paradoxe ou non des anniversaires?

je vais essayer de faire court et compréhensible:
Nous avons un groupe de plusieurs personnes et nous posons la question
Quelle est la probabilité pour que dans ce groupe 2 personnes "au moins" aient le même jour anniveraire?
On va d'abord se poser la question inverse:
Quelle est la probabilité pour que tous les anniversaires soient différents?

Prenons un exemple:
2 personnes quelconques ont des anniversaires différents= A
Le nombres de cas possibles est 365X364
la probabilité de A= p(A)=(365x364) :(365X365) =0,045

B= 3 personnes ayant des anniversaires différents p(B)= (365X364X363) :(365X365X365)


Alors pour 47 personnes C= 47 personnes ont des anniversaires différents
p(C) = (365x364x.....319) : (365x365x365.....365) = 0,045
( 47 nombres)
appelons D celui que l'on veut étudier, soit avoir au moins deux personnes (parmi 47) ayant le même anniversaire, D et C sont exactement contraires et la somme de leur probabilité est celle de la certitude soit 1
Donc ici la probabilité de D est de o, 955 soit 95,5% de "chances".
Pour 57 personnes on atteindra 99%
On n'atteindra vraiment 100% pour être puriste qu'avec 366personnes!!!

le bon sens et les probabilités font rarement bon ménage , les calculs sont souvent vérifiés en augmentant le nombre dits d'expériences ,la loi des grands nombres.
Excusez-moi d'avoir été longue mais tout résultat doit, si on peut, être expliqué.

il n'y a pas de paradoxe des anniversaires.

lundi 18 février 2008

souvenir de vacances

pour faire écho au post de Marie Noyale. à Martha'sVineyard près d'une maison j'ai trouvé cet amour du drapeau très drôle. D'autant qu'il y en avait deux grands au balcon.

dimanche 17 février 2008

pour la mémoire

Voici un très beau mémorial de la shoah à Boston. On passe sous ces hautes tours de verre et ceci déclenche une arrivée de brume assez saisissante à la tombée de la nuit.
Puis à la sortie, sur le dernier mur, ce poème de Martin Niemoller qui fut interné en 1937 et mourut à Dachau en 1945.

Ce livre, journal d'Hélène Berr, vient d'être édité après être resté 50 ans dans son entourage. Elle en confie les pages au fur et à mesure à Andrée, au service de sa famille, pour qu'elle les remette à Jean son fiancé parti rejoindre les Forces françaises libres.
Hélène est née en 1921 dans une famille bourgeoise, elle est très cultivée et en 1942 a pour projet de s'inscrire à l'agrégation d'anglais, inscription que lui sera interdite à la promulgation des lois anti-juives.
Son journal commence dans la joie car elle marche dans Paris pour aller chez Paul Valèry chercher un livre dédicacé. La dédicace est la suivante:"Au réveil, si douce la lumière, et si beau ce bleu vivant"....Au fil des jours sa joie de vivre fait place à l'angoisse et elle compte les amis étudiants qui lui restent , elle s'accroche à la musique, aux livres, à une permanence à la bibliothèque de la Sorbonne, et aussi à son investissement dans un orphelinat de Neuilly où sont amenés les enfants juifs qui viennent on ne sait d'où, se retrouvant seuls après des rafles. Puis il y a le jeune homme (non juif) dont elle est très amoureuse et dont la pensée l'aide à supporter ces jours noirs.
Elle sera arrêtée et déportée le jour de ses 23 ans (mars 1944) avec ses parents (ses frères et soeurs avaient rejonts la zone libre et ont réussi à échapper aux rafles)
Son père meurt assassiné à Auschwitz en septembre, sa mère dans la chambre à gaz en mai.
Hélène meurt en avril 1945 après la longue marche imposée par les nazis pour fuire devant les alliés. Elle meurt à Bergen Belsen des mauvais traitements et du typhus quelques jours avant la libération du camp par les Anglais.
Elle écrivait dans la dernière partie de son journal:
"La seule expérience de l'immortalité de l'âme que nous puissions avoir avec sûreté, c'est cette immortalité qui consiste en la persistance du souvenir des morts parmi les vivants"


samedi 16 février 2008

retour autour des étangs

hier en fin d'après midi je décide d'aller faire un tour auprès de étangs que j'ai un peu délaissés depuis l'hiver (pour cause de boue, et je n'aime pas me salir...). De la rue j'aperçois les 2 cygnes locataires de cet endroit.
Ils sont presque parallèles et sont entrain de manger.

ils sont carrément vautrés et se goinfrent d'herbe (ou de vers de terre?) en tout cas ils ne sont aucunement dérangés par mon arrivée.

je poursuis mon chemin, peu de monde car il fait froid, quelques joggeurs, une maman avec ses deux enfants qui viennent après l'école pour marcher et donner du pain aux canards.

le soleil s'est couché et on voit un ciel annonciateur de gelée (il faut que je rentre emmailloter mon laurier rose sur ma terrasse, mais comme je l'oublie 2 fois sur 3 il est sans doute immunisé ou moribond)




vendredi 15 février 2008

promenade au crépuscule

vue du centre culturel
Fin de jour sur ma rue

jeudi 14 février 2008

Saint Valentin

juste après la rentrée (de septembre) cette déclaration d'amour à l'entrée du pont qui mène au lycée...quand je suis passée avant-hier elle était presque effacée...

" Et la pluie efface sur le béton
Les mots des amours de jeunesse"


"Deux pigeons s'aimaient d'amour tendre
L'un des deux s'ennuyant au pays
Fut assez fou pour entreprendre
Un voyage en un lointain pays"

Ce que La Fontaine ne savait pas c'est qu'ils se retrouvèrent en Nouvelle Angleterre dans la station de Gloucester

mercredi 13 février 2008

le lycée

une surprise !!! en quelques jours les fleurs sont sorties
en longeant le centre culturel on aperçoit le lycée "Sévigné". Très beau lycée ouvert en 1992 dans un cadre plus qu'agréable.

à gauche le bâtiment principal, à droite le réfectoire.

l'école est finie et en attendant le bus ou la voiture qui viendra la chercher, une lycéenne commence ses devoirs, profitant du soleil et du temps doux.

l'arrière du bâtiment principal. Là j'ai suivi la Vilaine pour y accéder.

le gymnase.





mardi 12 février 2008

tout est calme, reposé

"Bonsoir, endormez-vous
La nuit descend sur le terre
Bonsoir, endormez-vous
La nuit descend sur nous
Bonsoir, endormez-vous"

lundi 11 février 2008

week end à Arzon(2)

on peut encore se poser la question: où est l'intrus? en tout cas il est coloré et porte un joli nom(on aurait pu ajouter "joli p'tit brin de mimosa")
ce n'est pas encore le moment des sorties (motorisées)

En revanche le beau temps incite au nettoyage de printemps. Il y avait beaucoup de travail hier au port Crouesty....


contrôle technique

l'acrobate m'a dit qu'il s'appelait "Jean-Mi", de ne pas oublier de le noter sous ma photo (quand il a vu que je le photographiais)
D'autres ont laissé les karchers, balais brosses et ponceuses pour aller au large profiter de ce beau dimanche de fêvrier.